Il n’existait pas réellement à ce jour de glossaire répondant aux critères suivants :

• suffisamment exhaustif, couvrant la majeure partie des termes concernant les aspects théoriques (gnomoniques) et pratiques des cadrans solaires,
• présentant des définitions suffisamment explicites et réellement compréhensibles par tous (même les débutants),
• développé sous une licence Creative Commons permettant une réutilisation voire un développement complémentaire par des tiers, à condition de citer la source initiale du travail et qu’il n’y ait pas d’objectif commercial à cette réutilisation.

Sur ce constat, le Comité éditorial du magazine « Cadrans solaires pour tous » a donc décidé, à l’automne 2023, de développer un tel glossaire.

Nous tenons à préciser que nous sommes pleinement conscients que le domaine de la gnomonique et des cadrans solaires est aussi bien celui des femmes que des hommes, même si la double flexion ou le point médian ou toute autre forme d’écriture inclusive n’ont pas été systématiquement utilisés dans ce glossaire.

Le glossaire, inséré dans le MOOC cadrans solaires est également disponible sous la forme d’un fichier pdf qui peut être téléchargé ici.

Il a été également, ou sera très prochainement, mis en ligne sur les sites de membres du Comité :

• Le forum d’Yvon Massé,
• Le site d’Yves Opizzo,
• Le site de Jean-Luc Astre,
• Le site de la Commission des Cadrans Solaires du Québec de Jasmin Gauthier,
• Le site de David Alberto.

Nous espérons qu’il sera utile au plus grand nombre. N’hésitez cependant pas à nous faire part de toute remarque ou suggestion qui nous permettrait d’améliorer ce glossaire. Et n’hésitez pas, dans le cadre de la licence Creative Commons BY-NC-SA 4.0 DEED, à réutiliser ce travail dans vos projets et d’ainsi faire vivre librement et développer le domaine de la gnomonique et des cadrans solaires !

Et un dernier point important : les auteurs de ce glossaire sont pleinement conscients que le domaine de la gnomonique et des cadrans solaires est aussi bien celui des femmes que des hommes, même si la double flexion ou le point médian ou toute autre forme d’écriture inclusive n’ont pas été systématiquement utilisés dans la rédaction du glossaire.